NIKI,
Je pense que ce qu'il faut proscrire , c'est la recherche systématique du
short.
Comme j'ai
tendance à le constater trop souvent.
Par contre, à mon avis , shorter quand on a une bonne raison ne doit pas être écarté.
Exemple 1 :
short (scalp) de ce matin en open, le DAX va chercher à minima le plus haut de la veille avant de repasser haussier.
C'est de la logique, un acheteur d'action (ou d'indice) n'a pas envie de racheter une valeur plus haute que le cours max de la veille. Donc très souvent, on va fermer les gaps.
Exemple 2 :
Evènement d'actualité ou politique
Personnellement , je ne trade que très rarement le CAC mais depuis l'annonce de la dissolution , je
short régulièrement le CAC
Exemple 3 :
short de
range dans une période d'attente
Le CAC depuis le mois de juin navigue entre 7500 et 7700 / 7750
Donc naturellement quand on se rapproche de 7700 , la proba de réussite d'un
short augmente
Exemple 4 :
Période de prise de bénéfices (excès haussier) ou rotation sectorielle
Comme le
nasdaq , ces dernières semaines avec la prise de bénéf sur l'IA annoncées et préparées par les "gros" .
Quand NVIDIA fait du -5% et
apple -3%, on est clairement pas dans un mouvement haussier sur le
nasdaq.
Mais c'est clair qu'il ne faut pas anticiper les shorts et ne pas sous estimer le potentiel des rebonds.
C'était juste quelques exemples pour justifier que le
short n'est pas à exclure suivant le contexte.
En ce moment, c'est plus la valse des résultats qui va décider. Mais si des perspectives s'assombrissent , bénéfices attendus régressent, etc..., le
short n'est pas à exclure (sur signal)
