File CAC 40 du 27 décembre 2018
par j_jerome » 27 déc. 2018 00:05
Bonsoir à tous,
Voici l'ouverture pour le 27 Décembre :
Un peu de vroum vroum
Calendrier économique du jour
Vidéo du jour :
Voici l'ouverture pour le 27 Décembre :
Un peu de vroum vroum
Spoiler:
J’ai fini de vous parler de tout ce qui vol pour aujourd’hui. Je vais vous parler d’un championnat de voiture de tourisme ; le V8 Supercars (ou le Virgin Australia Supercars Championship depuis que Virgin a racheté la licence).
Ce sport n’est pas tout jeune puisqu’apparu dans les années 60. Pendant 6 ans, ce championnat pouvait être qualifié de relativement cours… il avait en effet un nombre totalement faramineux de 1 course !!
En 1969 le championnat s’est étoffé en passant 1 course à 5 puis est monté jusqu’à 15/16 « meetings » (je vous expliquerai après le principe d’un meeting) en un an. Si au départ le championnat était ouvert à plusieurs constructeurs, au fil des années seulement deux sont restés, Ford et Holden.
Les voitures :
Les voitures sont issues de voitures de M. et Mme. tout le monde à quelques modifications près. Renforcées évidemment, plus puissantes et préparées pour la course, elles n’en restent pas moins des voitures de base que tout le monde peut acheter.
Le poids minimum de ces voitures est de 1410 kg, et 100kg pour le pilote avec son siège. Le tout est propulsé par des V8 de 650ch et limité à 7500 tr/min.
Pour des raisons de coûts, mais aussi pour « niveler » le niveau de chaque voiture, beaucoup de pièces sont communes, avec quand même une certaine liberté pour que chaque équipe puisse développer ses voitures. En ayant ces pièces communes, le prix de chaque voiture avoisine les 200 000$ pour les moins chères quand les plus chères arrivent à 400 000$. Ça reste assez onéreux pour certains, mais comparer au développement d’une F1 par exemple cela n’a rien à voir.
Une petite vidéo pour vous montrer les voitures depuis le début :
[youtube]https://youtu.be/FBve9R1i4nw[/youtube]
Les marques :
Comme je l’ai dit avant, au départ ce championnat était ouvert à n’importe quel constructeur de voiture. Il a donc eu au fil des années des marques comme Ford, Holden (les deux maques historiques), Nissan, BMW, Jaguar, Chevrolet, Mazda ou encore Volvo. Si toutes ces marques ce sont essayés au V8 Supercars (et ont gagnés courses et championnats), seuls Ford et Holden ont toujours été présentent depuis le début.
Depuis 2013 et l’introduction de nouvelles règles, Mercedes, Nissan et Volvo est venue pour la marque à l’étoile ou revenuent pour les deux autres avec des résultats… assez décevants dans l’ensemble puisque ces équipes, même si elles arrivaient à briller sur une course n’étaient pas constante dans le temps. Si bien qu’au bout de deux saisons à peine, Mercedes a décidée de se retirer de la compétition suivie de Volvo l’année d’après.
Ne laissant plus que Ford, Holden et Nissan pour le moment sur les circuits.
Si vous pensiez que les « guéguerres » entre les utilisateurs de la Pomme et du petit bonhomme vert n’ont pas d’autres équivalents, détrompez-vous !!
En effet, l’attachement à une des deux marques peut être une cause de dispute au sein d’une même famille. Il n’est pas rare d’entendre les commentateurs dire la phrase suivante « are you red or blue ? », chacune des couleurs faisant bien évidemment référence à une marque, bleu pour Ford, et rouge pour Holden.
Ce clivage va tellement loin, que les supporters arrêtent de soutenir un pilote et peuvent aller jusqu’à le dénigrer juste parce que ce dernier est passé d’une marque à l’autre. Ceci s’est toujours vu pour tous les pilotes, sauf un…
Les circuits :
Ce championnat étant Australien, les circuits sont en… Australie (c’était dur à deviner hein ?), mais aussi en Nouvelle-Zélande. En plus de ces deux pays, il y a eu quelques courses en Asie (une à Singapour), à Barhein, Abhu-Dabi et le circuit d’Austin au Texas.
Le public n’ayant jamais été au rendez-vous de ces weekends de courses, et le public australiens ne voyant pas d’un très bon œil de voir « son » championnat vouloir s’internationaliser, les organisateurs sont revenus à des courses en Australie.
Les types de circuits des circuits sont au nombre de deux :
- Le style « classique », le circuit dont tout le monde à l’image en tête : un peu de bitume posé au milieu de nulle part.
- Le style « urbain », le circuit éphémère qui pousse au milieu d’une ville pendant un weekend et disparait après.
Les Australiens ne s’embêtent pas vraiment avec toutes normes qu’il peut y avoir avec les circuits « modernes », exit donc la largeur minimum de 12m sur circuit permanent de la FIA, en Australie c’est plutôt « il y a assez de place pour rouler ? Alors c’est bon », et non sur ce petit circuit ce n’est pas la procession comme on peut le voir sur certains circuits de F1…
Ce fameux petit circuit :
[youtube]https://youtu.be/qK69Ot2_XW4[/youtube]
Évidemment, il n’y a pas que ce genre de petits circuits, et d’autres sont eux aux normes internationales. Le plus mythique de tous est le circuit de « mount panorama », qui vous est expliqué ici :
[youtube]https://youtu.be/vF6mYCHENeY[/youtube]
Pour laisser imaginer comment travaille un pneu sur ce circuit-là :
[youtube]https://youtu.be/UTocyZ-kMss[/youtube]
Les formats de courses :
Il y a maintenant deux formats de courses :
- Les courses d’endurance
- Le format « classique »
Il y a encore quelques années, on pouvait dire que les organisateurs se cherchaient encore puisqu’il y avait :
- Les courses d’endurance
- Le format « sprint » (à 2 ou 3 courses de longueurs différentes)
- Le format « super sprint » (à 2 ou 3 courses de longueurs différentes aussi)
- Les qualifications « normales » puis le « top ten shoutout » pour les 10 premiers
- Les qualifications types « F1 » (trois sessions où on élimine une partie des pilotes les moins rapides)
- Les qualifications qui comptaient pour la première course, mais pas pour les suivantes
- …
Vous le voyez bien, c’était le grand n’importe quoi avec aucuns des weekends qui se ressemblaient les un des autres.
Je vous ai dit avant « l’importance » d’un meeting. Avec des weekends pouvant accueillir jusqu’à 3 courses, ces weekends étaient regroupés en « meeting » avec un vainqueur au terme des trois courses. Jusque-là tout va bien, tout va bien jusqu’en 2006, où . Kelly devient le seul et unique pilote à avoir été titré… sans jamais avoir gagné un seul meeting dans la saison. Ça a fait un tel tollé quand c’est arrivé, que le nombre de points attribué sur chaque weekend a été complètement revu (là aussi passant par moult phases), certains voulant même aller jusqu’à enlever la notion de meeting. Ce titre de gagnant de meeting a été petit à petit abandonné pour ne devenir maintenant quelque chose de plus anecdotique qu’autre chose.
Heureusement pour nous, ils ont semblé trouver une certaine cohérence maintenant entre chaque course, et surtout des règles qui n’évoluent plus saison après saison.
Maintenant, chaque weekend de course (les courses d’endurances misent à part), que l’on appelle des « meetings » se déroule en deux courses d’une longueur de 250km pour le premier meeting de la saison puis la première course du weekend sera de 120 km et la seconde de 200 km. Pour déterminer l’ordre de départ, très simple maintenant : deux séances de qualification de 10 à 20 minutes, une pour chaque course. C’est quand même plus simple non ?
Parlons maintenant de la saison d’endurance, car oui, c’est un championnat dans le championnat (depuis 2 saisons maintenant).
Pour ces courses d’endurance, les pilotes sont réunis par paire (faut bien les ménager un peu les pauvres petits…) je plaisante, mais il est déjà arrivé que par la chaleur un pilote fasse un malaise dans sa voiture, et ce n’était pas une course d’endurance, donc relativement courte…
La première course d’endurance fait une distance de 500 km et placée au milieu (calendairement parlant) du championnat.
La troisième course, enfin la troisième manche d’endurance se dispute dans les rues de « Surfers Paradise » (rien que le nom laisse rêveur :p ) et se déroule sur deux courses de 300 km. Il y a encore deux saisons en arrière, ces courses étaient organisées de façon à permettre aux plus grands nombres de pilotes internationaux de venir (obligation pour les équipes de prendre un pilote non australien dans chaque voiture), mais pour pouvoir faire le championnat d’endurance cette règle a malheureusement dû être abandonnée.
Je vais maintenant vous parler de la course la plus importante pour chacun des pilotes : la course des 1000 km de Bathurst (the Bathurst 1000). Cette course est extrêmement populaire en Australie, et tout Australien regarde au moins les résultats de cette course. C’est un peu l’équivalent des 24h du Mans chez nous : même si on ne s’intéresse pas au sport automobile on entend au moins les résultats aux infos.
C’est la course que tout pilote veut gagner (comme Monaco pour les pilotes de F1), certains pilotes considèrent même une victoire à Bathurst comme plus importante que de gagner le championnat entier.
Je vous laisse ces deux vidéos d’introduction à cet évènement pour que vous puissiez voir la ferveur de cette course :
Avec Russell Crowe aux commentaires…
[youtube]https://youtu.be/lJCE-0CnoVA[/youtube]
et la seconde (sans Russell Crowe, ils n’avaient plus de budget^^)
[youtube]https://youtu.be/ANlcJ16f_eE[/youtube]
Cette année, comme un clin d’œil à l’histoire de ce sport, le pilote « chouchou » du public (vous vous souvenez, celui qui peut passer d’une marque à l’autre sans perdre de supporters…) qui a annoncé sa retraite a gagné pour la 7eme fois de sa carrière de pilote régulier cette course légendaire.
Je pourrais encore en parler longtemps, mais je pense qu’il est temps pour vous de retourner vers les marchés. Je vous laisse avec quelques vidéos de ce sport mécanique (avec des contacts, des dépassements « virils, mais correcte ») trop peu connu hélas en France à mon gout…
Ce qu’il peut arriver quelques fois (ça fait bizarre de voir le premier accident en direct, même si c’est juste sur un écran de pc…)
[youtube]https://youtu.be/561gk8_6LRw[/youtube]
[youtube]https://youtu.be/Jt2ovQ5b6ls[/youtube]
[youtube]https://youtu.be/KouFrrlTvys[/youtube]
[youtube]https://youtu.be/NBEvSpCW2fg[/youtube]
[youtube]https://youtu.be/2-lroIYyCv4[/youtube]
ça tape pas souvent, mais quand ça tape, ça ne fait pas semblant
[youtube]https://youtu.be/snsjia2sd60[/youtube]
[youtube]https://youtu.be/9pISSXM9g9M[/youtube]
pour finir un peu plus légèrement
[youtube]https://youtu.be/DGNB3Vy6YoI[/youtube]
Ce sport n’est pas tout jeune puisqu’apparu dans les années 60. Pendant 6 ans, ce championnat pouvait être qualifié de relativement cours… il avait en effet un nombre totalement faramineux de 1 course !!
En 1969 le championnat s’est étoffé en passant 1 course à 5 puis est monté jusqu’à 15/16 « meetings » (je vous expliquerai après le principe d’un meeting) en un an. Si au départ le championnat était ouvert à plusieurs constructeurs, au fil des années seulement deux sont restés, Ford et Holden.
Les voitures :
Les voitures sont issues de voitures de M. et Mme. tout le monde à quelques modifications près. Renforcées évidemment, plus puissantes et préparées pour la course, elles n’en restent pas moins des voitures de base que tout le monde peut acheter.
Le poids minimum de ces voitures est de 1410 kg, et 100kg pour le pilote avec son siège. Le tout est propulsé par des V8 de 650ch et limité à 7500 tr/min.
Pour des raisons de coûts, mais aussi pour « niveler » le niveau de chaque voiture, beaucoup de pièces sont communes, avec quand même une certaine liberté pour que chaque équipe puisse développer ses voitures. En ayant ces pièces communes, le prix de chaque voiture avoisine les 200 000$ pour les moins chères quand les plus chères arrivent à 400 000$. Ça reste assez onéreux pour certains, mais comparer au développement d’une F1 par exemple cela n’a rien à voir.
Une petite vidéo pour vous montrer les voitures depuis le début :
[youtube]https://youtu.be/FBve9R1i4nw[/youtube]
Les marques :
Comme je l’ai dit avant, au départ ce championnat était ouvert à n’importe quel constructeur de voiture. Il a donc eu au fil des années des marques comme Ford, Holden (les deux maques historiques), Nissan, BMW, Jaguar, Chevrolet, Mazda ou encore Volvo. Si toutes ces marques ce sont essayés au V8 Supercars (et ont gagnés courses et championnats), seuls Ford et Holden ont toujours été présentent depuis le début.
Depuis 2013 et l’introduction de nouvelles règles, Mercedes, Nissan et Volvo est venue pour la marque à l’étoile ou revenuent pour les deux autres avec des résultats… assez décevants dans l’ensemble puisque ces équipes, même si elles arrivaient à briller sur une course n’étaient pas constante dans le temps. Si bien qu’au bout de deux saisons à peine, Mercedes a décidée de se retirer de la compétition suivie de Volvo l’année d’après.
Ne laissant plus que Ford, Holden et Nissan pour le moment sur les circuits.
Si vous pensiez que les « guéguerres » entre les utilisateurs de la Pomme et du petit bonhomme vert n’ont pas d’autres équivalents, détrompez-vous !!
En effet, l’attachement à une des deux marques peut être une cause de dispute au sein d’une même famille. Il n’est pas rare d’entendre les commentateurs dire la phrase suivante « are you red or blue ? », chacune des couleurs faisant bien évidemment référence à une marque, bleu pour Ford, et rouge pour Holden.
Ce clivage va tellement loin, que les supporters arrêtent de soutenir un pilote et peuvent aller jusqu’à le dénigrer juste parce que ce dernier est passé d’une marque à l’autre. Ceci s’est toujours vu pour tous les pilotes, sauf un…
Les circuits :
Ce championnat étant Australien, les circuits sont en… Australie (c’était dur à deviner hein ?), mais aussi en Nouvelle-Zélande. En plus de ces deux pays, il y a eu quelques courses en Asie (une à Singapour), à Barhein, Abhu-Dabi et le circuit d’Austin au Texas.
Le public n’ayant jamais été au rendez-vous de ces weekends de courses, et le public australiens ne voyant pas d’un très bon œil de voir « son » championnat vouloir s’internationaliser, les organisateurs sont revenus à des courses en Australie.
Les types de circuits des circuits sont au nombre de deux :
- Le style « classique », le circuit dont tout le monde à l’image en tête : un peu de bitume posé au milieu de nulle part.
- Le style « urbain », le circuit éphémère qui pousse au milieu d’une ville pendant un weekend et disparait après.
Les Australiens ne s’embêtent pas vraiment avec toutes normes qu’il peut y avoir avec les circuits « modernes », exit donc la largeur minimum de 12m sur circuit permanent de la FIA, en Australie c’est plutôt « il y a assez de place pour rouler ? Alors c’est bon », et non sur ce petit circuit ce n’est pas la procession comme on peut le voir sur certains circuits de F1…
Ce fameux petit circuit :
[youtube]https://youtu.be/qK69Ot2_XW4[/youtube]
Évidemment, il n’y a pas que ce genre de petits circuits, et d’autres sont eux aux normes internationales. Le plus mythique de tous est le circuit de « mount panorama », qui vous est expliqué ici :
[youtube]https://youtu.be/vF6mYCHENeY[/youtube]
Pour laisser imaginer comment travaille un pneu sur ce circuit-là :
[youtube]https://youtu.be/UTocyZ-kMss[/youtube]
Les formats de courses :
Il y a maintenant deux formats de courses :
- Les courses d’endurance
- Le format « classique »
Il y a encore quelques années, on pouvait dire que les organisateurs se cherchaient encore puisqu’il y avait :
- Les courses d’endurance
- Le format « sprint » (à 2 ou 3 courses de longueurs différentes)
- Le format « super sprint » (à 2 ou 3 courses de longueurs différentes aussi)
- Les qualifications « normales » puis le « top ten shoutout » pour les 10 premiers
- Les qualifications types « F1 » (trois sessions où on élimine une partie des pilotes les moins rapides)
- Les qualifications qui comptaient pour la première course, mais pas pour les suivantes
- …
Vous le voyez bien, c’était le grand n’importe quoi avec aucuns des weekends qui se ressemblaient les un des autres.
Je vous ai dit avant « l’importance » d’un meeting. Avec des weekends pouvant accueillir jusqu’à 3 courses, ces weekends étaient regroupés en « meeting » avec un vainqueur au terme des trois courses. Jusque-là tout va bien, tout va bien jusqu’en 2006, où . Kelly devient le seul et unique pilote à avoir été titré… sans jamais avoir gagné un seul meeting dans la saison. Ça a fait un tel tollé quand c’est arrivé, que le nombre de points attribué sur chaque weekend a été complètement revu (là aussi passant par moult phases), certains voulant même aller jusqu’à enlever la notion de meeting. Ce titre de gagnant de meeting a été petit à petit abandonné pour ne devenir maintenant quelque chose de plus anecdotique qu’autre chose.
Heureusement pour nous, ils ont semblé trouver une certaine cohérence maintenant entre chaque course, et surtout des règles qui n’évoluent plus saison après saison.
Maintenant, chaque weekend de course (les courses d’endurances misent à part), que l’on appelle des « meetings » se déroule en deux courses d’une longueur de 250km pour le premier meeting de la saison puis la première course du weekend sera de 120 km et la seconde de 200 km. Pour déterminer l’ordre de départ, très simple maintenant : deux séances de qualification de 10 à 20 minutes, une pour chaque course. C’est quand même plus simple non ?
Parlons maintenant de la saison d’endurance, car oui, c’est un championnat dans le championnat (depuis 2 saisons maintenant).
Pour ces courses d’endurance, les pilotes sont réunis par paire (faut bien les ménager un peu les pauvres petits…) je plaisante, mais il est déjà arrivé que par la chaleur un pilote fasse un malaise dans sa voiture, et ce n’était pas une course d’endurance, donc relativement courte…
La première course d’endurance fait une distance de 500 km et placée au milieu (calendairement parlant) du championnat.
La troisième course, enfin la troisième manche d’endurance se dispute dans les rues de « Surfers Paradise » (rien que le nom laisse rêveur :p ) et se déroule sur deux courses de 300 km. Il y a encore deux saisons en arrière, ces courses étaient organisées de façon à permettre aux plus grands nombres de pilotes internationaux de venir (obligation pour les équipes de prendre un pilote non australien dans chaque voiture), mais pour pouvoir faire le championnat d’endurance cette règle a malheureusement dû être abandonnée.
Je vais maintenant vous parler de la course la plus importante pour chacun des pilotes : la course des 1000 km de Bathurst (the Bathurst 1000). Cette course est extrêmement populaire en Australie, et tout Australien regarde au moins les résultats de cette course. C’est un peu l’équivalent des 24h du Mans chez nous : même si on ne s’intéresse pas au sport automobile on entend au moins les résultats aux infos.
C’est la course que tout pilote veut gagner (comme Monaco pour les pilotes de F1), certains pilotes considèrent même une victoire à Bathurst comme plus importante que de gagner le championnat entier.
Je vous laisse ces deux vidéos d’introduction à cet évènement pour que vous puissiez voir la ferveur de cette course :
Avec Russell Crowe aux commentaires…
[youtube]https://youtu.be/lJCE-0CnoVA[/youtube]
et la seconde (sans Russell Crowe, ils n’avaient plus de budget^^)
[youtube]https://youtu.be/ANlcJ16f_eE[/youtube]
Cette année, comme un clin d’œil à l’histoire de ce sport, le pilote « chouchou » du public (vous vous souvenez, celui qui peut passer d’une marque à l’autre sans perdre de supporters…) qui a annoncé sa retraite a gagné pour la 7eme fois de sa carrière de pilote régulier cette course légendaire.
Je pourrais encore en parler longtemps, mais je pense qu’il est temps pour vous de retourner vers les marchés. Je vous laisse avec quelques vidéos de ce sport mécanique (avec des contacts, des dépassements « virils, mais correcte ») trop peu connu hélas en France à mon gout…
Ce qu’il peut arriver quelques fois (ça fait bizarre de voir le premier accident en direct, même si c’est juste sur un écran de pc…)
[youtube]https://youtu.be/561gk8_6LRw[/youtube]
[youtube]https://youtu.be/Jt2ovQ5b6ls[/youtube]
[youtube]https://youtu.be/KouFrrlTvys[/youtube]
[youtube]https://youtu.be/NBEvSpCW2fg[/youtube]
[youtube]https://youtu.be/2-lroIYyCv4[/youtube]
ça tape pas souvent, mais quand ça tape, ça ne fait pas semblant
[youtube]https://youtu.be/snsjia2sd60[/youtube]
[youtube]https://youtu.be/9pISSXM9g9M[/youtube]
pour finir un peu plus légèrement
[youtube]https://youtu.be/DGNB3Vy6YoI[/youtube]
Spoiler:
Spoiler:
La personne que je me propose de vous faire découvrir aujourd'hui est un assembleur PC que je connais assez bien puisque je le suis depuis quelques années, et que je vais bientôt faire appels à ses services. Très professionnel, il saura vous faire votre PC de vos rêves (peut-être votre future machine de trading? )
Je vous met une vidéo d'un de ses montages PC sur youtube, mais allez plutôt sur sa chaine twitch (tous les liens sont dans la descriptions de la vidéo pour pouvoir le voir et le contacter), il a tendance à mettre plus de contenu sur twitch que sur youtube. (Ne vous étonnez pas s'il peut vous paraitre assez "directe" dans son langage...)
Une machine finie
[youtube]https://youtu.be/u_xYa8z8Ubw[/youtube]
Une trèèèèès longue vidéo d'un montage complet
[youtube]https://youtu.be/q7sDP4AB-zg[/youtube]
Je vous met une vidéo d'un de ses montages PC sur youtube, mais allez plutôt sur sa chaine twitch (tous les liens sont dans la descriptions de la vidéo pour pouvoir le voir et le contacter), il a tendance à mettre plus de contenu sur twitch que sur youtube. (Ne vous étonnez pas s'il peut vous paraitre assez "directe" dans son langage...)
Une machine finie
[youtube]https://youtu.be/u_xYa8z8Ubw[/youtube]
Une trèèèèès longue vidéo d'un montage complet
[youtube]https://youtu.be/q7sDP4AB-zg[/youtube]
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