Aujourd'hui, je vous déconseille fortement d'acheter quoi que ce soit à crédit.
Car aujourd'hui , c'est le jour de l'amer crédit.
C'est un conseil que j'avais d'ailleurs donné à ma mère .
Non, ma mère ne s'appelle pas Noël et elle ne fait pas de politique.
Heureusement d'ailleurs qu'elle ne s'appelle pas Noël car si je vous dis que ma mère s'appelle Noël, ça voudrait dire que mon père également.
Et si je dis que mon père est le père Noël, plus personne ne me croix (sauf Jésus ...mais il l'a bien payé).
Le seul crédit que vous pourriez ( à la limite) faire aujourd'hui est un crédit taon.
Mais, même si votre patron vous le refuse et que ça vous fiche le bourdon, ne soyez pas guêpe: restez zzzzzzen et surtout ne prenez pas la mouche.
Autre conseil toujours valable : ne prenez pas trop de levier car vous vous retrouveriez vite sans un radis.
Et ce n'est pas le paradis pour qui n'a plus de radis. C'est même plutôt l'enfer du décor.
J'ai également donné ce conseil à mon père mais il m'a dit qu'il ne comprenait rien à mes histoires de radis et de paradis.
Je lui aurais bien dit que c'était normal de parler flou à son papa quand on parle de radis et de paparad(z)is mais il n'aurait pas bien visualisé l'image.
Je vous propose un extrait d'un personnage atypique de la chanson française : Grand corps malade.
Bien que je ne sois pas super fan du slam, je tiens à faire ce petit clin d'oeil car il y a de moins en moins de chanteurs qui se concentrent sur les mots. il mérite donc notre attention.
Dans l'interview qui suit, non seulement les mots sont bien trouvés mais en plus, il les dit avec un débit impressionnant.
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