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Je n'ai aucune idée de pourquoi mais cela m'interesserait d'être éclairé sur le fonctionnement de tout ça
Salut,
" la croissante des salaires a ralenti en avril ce qui calme la crainte d'une pression inflationniste qui pousserait la FED a augmenter plus vite les taux."
La réponse est dans la question ^^. Plus les taux montent, plus les rendements obligataires monteront. La croissance des salaires a déçu et ne "démarre" pas des masses. Donc ancitpation d'Inflation en baisse, les probabilités de hausse des taux en baisse, donc baisse du rendement obligataire US. Mais bon dans les fait c'est autre chose avec un chômage qui baisse et une tendance fortement baissière des obligs... ^^
Je ne comprends pas une partie du post de Bernardino "une hausse de l'inflation augmente donc le risque d'une hausse des taux, ce qui entraîne une baisse de leur rendement"
Il m'a toujours semblé que c'est le contraire, une hausse de l'inflation, entraine une augmentation du risque de hausse des taux et donc une hausse des rendements obligataires.
" la croissante des salaires a ralenti en avril ce qui calme la crainte d'une pression inflationniste qui pousserait la FED a augmenter plus vite les taux."
La réponse est dans la question ^^. Plus les taux montent, plus les rendements obligataires monteront. La croissance des salaires a déçu et ne "démarre" pas des masses. Donc ancitpation d'Inflation en baisse, les probabilités de hausse des taux en baisse, donc baisse du rendement obligataire US. Mais bon dans les fait c'est autre chose avec un chômage qui baisse et une tendance fortement baissière des obligs... ^^
Je ne comprends pas une partie du post de Bernardino "une hausse de l'inflation augmente donc le risque d'une hausse des taux, ce qui entraîne une baisse de leur rendement"
Il m'a toujours semblé que c'est le contraire, une hausse de l'inflation, entraine une augmentation du risque de hausse des taux et donc une hausse des rendements obligataires.
Stan, Bernardino fait référence aux obligations déjà émises : leur rendement sera moins bons que celles qui seront bientôt émises.
Hello.
Ce n'est pas seulement le taux de plein emploi qui compte (tant mieux s'il s'élève pour de multiples raisons, dont la première: plus de travailleurs suggère un PIB qui croît, donc des marchés qui s'étendent parallèlement...) en finance, mais aussi le taux de salaire horaire: car basiquement, la hausse de l'inflation dans un pays réduit la rentabilité de tous actifs émis en monnaie de ce pays: l'inflation ronge tout marché, qu'il s'étende, ou pire qu'il rétrécisse.
Après les différents actifs sont activement arbitrés ou pas - en allocation stratégique d'actifs - selon l'impact combinée des stat. du PIB et du taux de salaire horaire sur le résultat de l'actualisation du rendement réel des actions versus le rendement réel des oblig. dernièrement émises.
Ce n'est pas seulement le taux de plein emploi qui compte (tant mieux s'il s'élève pour de multiples raisons, dont la première: plus de travailleurs suggère un PIB qui croît, donc des marchés qui s'étendent parallèlement...) en finance, mais aussi le taux de salaire horaire: car basiquement, la hausse de l'inflation dans un pays réduit la rentabilité de tous actifs émis en monnaie de ce pays: l'inflation ronge tout marché, qu'il s'étende, ou pire qu'il rétrécisse.
Après les différents actifs sont activement arbitrés ou pas - en allocation stratégique d'actifs - selon l'impact combinée des stat. du PIB et du taux de salaire horaire sur le résultat de l'actualisation du rendement réel des actions versus le rendement réel des oblig. dernièrement émises.
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