ils ont pas de sous comme tous les métiers de la rechercheoù sont les cerveaux brillants sollicités pour l'amélioration des sociétés humaines?
ah en fait y'a vraiment eu des babouins évadés à Vincennes
d'ou le dessin
encore plus drole
https://www.sciencesetavenir.fr/animaux/primates/4-babouins-et-non-50-se-sont-echappes-de-leur-enclos-au-zoo-de-vincennes_120263
d'ou le dessin
encore plus drole
https://www.sciencesetavenir.fr/animaux/primates/4-babouins-et-non-50-se-sont-echappes-de-leur-enclos-au-zoo-de-vincennes_120263
Quand je lis ça, je me dis que c'est tellement important d'effectuer des recherches sur l'aspect négatif des possibilités de la vie en société plutôt que sur l'aspect de l'amélioration et le progrès de l'intelligence humaine et de la vie heureuse de tout un chacun, les priorités sont complètement erronées.Euraed a écrit :Il y a pas mal de travaux qui ont été menés sur le sujet de la désagrégation possible et rapide de nos sociétés, notamment par des équipes prospectives liées à La Défense américaine.
Ça me rappelle Lou dans l'argent ne dort jamais, quand il dit au jeune quand il lui assène que la boite et des milliers d'emplois vont sauter il répond "demande toi plutôt qui ne coule pas", encore un peu et on va insinuer que je suis complotiste, l'insulte suprême non pas ça, mais juste que ça fait beaucoup plus de buzz des âneries pareil, une sorte de télé réalité pour gens qui pensent être intelligent, une fierté surgit de ne pas être parmi les primates, ouf quelle chance , alors que des gens positifs qui améliorent les choses, contribuent à l'éducation humaine ou l'amélioration des perspectives et perceptions pour rendre plus belle la vie est laissé de côté, ça ne fait pas le buzz ce genre de chose qui peuvent rendre beau l'avenir.
Bref. Instants déprimes finis je me ferai invisible durant quelques temps, je rends la place.
Le même dé dispose de plusieurs faces.
Lorsque par exemple un chercheur en épidémiologie étudie les conditions de propagation d’un virus, ce n’est pas pour le répandre mais identifier les moyens de le combattre le plus efficacement possible.
Est-ce utile et positif ?
Mais peu importe, nous savons que le sujet n’est qu’un prétexte, c’est avant tout une question de personne. Une affirmation identitaire qui se forme par le rejet.
Lorsque par exemple un chercheur en épidémiologie étudie les conditions de propagation d’un virus, ce n’est pas pour le répandre mais identifier les moyens de le combattre le plus efficacement possible.
Est-ce utile et positif ?
Mais peu importe, nous savons que le sujet n’est qu’un prétexte, c’est avant tout une question de personne. Une affirmation identitaire qui se forme par le rejet.
Je reviens sur le premier poste de la file. C'est vrai que si on prend le temps d'y réfléchir, ces émeutes sont symptomatiques.
Et ton analyse Benoist est pertinente, mais je tenais à apporter d'autres éléments et une nuance.
1)
En période de peur intense, c’est l'instinct de survie qui prend naturellement sa place ( cerveau reptilien). C'est notre nature animale, nos pulsions, c'est aussi ce qui a permis la survie de l'Homme et notre existence.
Donc le renier en totalité me semble contre nature. Et dans certains cas de figure il est vraiment justifié et utile.
Par exemple, j'ai vu une femme se faire détruire psychologiquement, par son mari, pendant plus de 12 ans. Elle m'a dit que c'est justement son instinct de survie et son instinct de protection maternelle, qui lui a donné la force de s'en échapper.
Dans des moments extrême, l'instinct survie a son utilité et permet de dépasser notre torpeur, de nous surpasser.
De nos jours, l'homme devient un animal civilisé (pour ne pas dire apprivoisé). Notre héritage de connaissance et de savoir, nous permet d'être instruit, de dépasser nos pulsions primaires et de raisonner. Et nous héritons d'un cadre social, régie par la loi...
Mais nous nous n’y trompons pas, l'homme reste un animal et nous sommes notre pire prédateur. L'instinct de survie peut être prédateur, donc naturellement on a cette capacité à l'être. Cette capacité devrait être réservée uniquement pour les vrais cas extrêmes. Après ça doit être une question, de niveau de seuil de pare excitation de chacun. Exacerbé par les médias, les campagnes de pub et tous les outils manipulateurs de masse pour consommer.
2)
Concernant l'économie Française pendant la crise, je suis d’accord avec Benoist dans l’ensemble.
Je nuancerai juste avec les professions libérales. Certaines ont pris de plein fouet la crise, avec une baisse du chiffre d’affaire allant de -30 à -40%. Aujourd’hui on voit nettement la reprise, avec des chiffres d’affaires qui dépassent 2008-2010.
Mais tu m’as convaincu que la majorité des Français ne voient pas la différence. On pourrait s’en rendre compte dans nos dépenses, qui ont augmenté.
Ce qui est paradoxale, quand la crise a commencé, les Français dans la majorité n’étaient pas directement impactés (par une baisse de salaire, diminution du service public, diminution des aides…) mais ils ont malgré tout diminué nettement leurs dépenses, ce qui a ralenti l’économie.
Il aura fallut plus de 5 ans de quantative easing et de baisse de taux. Afin que les achats dans l’immobilier repartent…
J’entendais une discussion l’autre jour sur l’impact néfaste des promesses électorales et présidentiel. Justement l’imaginaire que projette un président, peut pulser le moral de la population ; augmentant ainsi l’envie d’entreprendre, les investissements, les dépenses (on se sent rassuré), donc l’économie. Mais le réveil à la fin de son quinquennat, va nous ramener au réel et peut provoquer un gap, un impact, hautement néfaste. Par exemple, comme disait le Président Macron à Davos, nous pousser au bout de 5-10-15 ans dans des partis extrémistes, probablement nuisible à l’économie.
Et ton analyse Benoist est pertinente, mais je tenais à apporter d'autres éléments et une nuance.
1)
En période de peur intense, c’est l'instinct de survie qui prend naturellement sa place ( cerveau reptilien). C'est notre nature animale, nos pulsions, c'est aussi ce qui a permis la survie de l'Homme et notre existence.
Donc le renier en totalité me semble contre nature. Et dans certains cas de figure il est vraiment justifié et utile.
Par exemple, j'ai vu une femme se faire détruire psychologiquement, par son mari, pendant plus de 12 ans. Elle m'a dit que c'est justement son instinct de survie et son instinct de protection maternelle, qui lui a donné la force de s'en échapper.
Dans des moments extrême, l'instinct survie a son utilité et permet de dépasser notre torpeur, de nous surpasser.
De nos jours, l'homme devient un animal civilisé (pour ne pas dire apprivoisé). Notre héritage de connaissance et de savoir, nous permet d'être instruit, de dépasser nos pulsions primaires et de raisonner. Et nous héritons d'un cadre social, régie par la loi...
Mais nous nous n’y trompons pas, l'homme reste un animal et nous sommes notre pire prédateur. L'instinct de survie peut être prédateur, donc naturellement on a cette capacité à l'être. Cette capacité devrait être réservée uniquement pour les vrais cas extrêmes. Après ça doit être une question, de niveau de seuil de pare excitation de chacun. Exacerbé par les médias, les campagnes de pub et tous les outils manipulateurs de masse pour consommer.
2)
Concernant l'économie Française pendant la crise, je suis d’accord avec Benoist dans l’ensemble.
Je nuancerai juste avec les professions libérales. Certaines ont pris de plein fouet la crise, avec une baisse du chiffre d’affaire allant de -30 à -40%. Aujourd’hui on voit nettement la reprise, avec des chiffres d’affaires qui dépassent 2008-2010.
Mais tu m’as convaincu que la majorité des Français ne voient pas la différence. On pourrait s’en rendre compte dans nos dépenses, qui ont augmenté.
Ce qui est paradoxale, quand la crise a commencé, les Français dans la majorité n’étaient pas directement impactés (par une baisse de salaire, diminution du service public, diminution des aides…) mais ils ont malgré tout diminué nettement leurs dépenses, ce qui a ralenti l’économie.
Il aura fallut plus de 5 ans de quantative easing et de baisse de taux. Afin que les achats dans l’immobilier repartent…
J’entendais une discussion l’autre jour sur l’impact néfaste des promesses électorales et présidentiel. Justement l’imaginaire que projette un président, peut pulser le moral de la population ; augmentant ainsi l’envie d’entreprendre, les investissements, les dépenses (on se sent rassuré), donc l’économie. Mais le réveil à la fin de son quinquennat, va nous ramener au réel et peut provoquer un gap, un impact, hautement néfaste. Par exemple, comme disait le Président Macron à Davos, nous pousser au bout de 5-10-15 ans dans des partis extrémistes, probablement nuisible à l’économie.
[youtube]https://youtu.be/RcjjtENnAdc[/youtube]
@takapoto : excellente la vidéo
C'est exactement la fonction royale.Justement l’imaginaire que projette un président, peut pulser le moral de la population ; augmentant ainsi l’envie d’entreprendre, les investissements, les dépenses (on se sent rassuré), donc l’économie
Le roi va bien => le royaume sera prospère et les récoltes seront abondantes.
Le roi est malade ou faible => le malheur s'abattra sur le pays.
Intéressant de voir que finalement, pas grand chose ne change...
Aussi, des économistes ont démontré que même en période de croissance, l’insatisfaction augmentait parallèlement à la part des dépenses contraintes. Dans celles-ci, justement on peut mettre de plus en plus de produits ou services ‘futiles’ rendus indispensables par les ficelles de plus en plus efficaces - implacables - du marketing moderne qui utilise par exemple les avancées des neurosciences.
Le nutella, vu la ferveur qu’il suscite, est probablement à ranger dans cette catégorie pour ses consommateurs. Tristounet ...
Le nutella, vu la ferveur qu’il suscite, est probablement à ranger dans cette catégorie pour ses consommateurs. Tristounet ...
Merci taka.
J’anime appris un nouveau concept : les produits « ultra-transformé » et la je pense immédiatement à la barre de Snickers que j’ai acheté vendredi après-midi au distributeur
J’anime appris un nouveau concept : les produits « ultra-transformé » et la je pense immédiatement à la barre de Snickers que j’ai acheté vendredi après-midi au distributeur
C'est moins crade que du nutella
J'ai lu dans un article que des clients étaient venus la veille planquer des pots dans d'autres ons pour être sur d'avoir les leurs.
De même, certains clients se sont servi dans les caddy de personnes qui en avait pris plusieurs.
Comme quoi avec un peu d'ingéniosité il était possible de les avoir ses pots.
De même, certains clients se sont servi dans les caddy de personnes qui en avait pris plusieurs.
Comme quoi avec un peu d'ingéniosité il était possible de les avoir ses pots.
Mais pour certains c'est quand même raté
C'est pas de pot !
C'est pas de pot !
Ah c'est pour ça sobear que le nounours que j'ai acheté pour faire un cadeau était si lourd !sobear a écrit :des clients étaient venus la veille planquer des pots dans d'autres ons pour être sur d'avoir les leurs.
Je me disais qu'ils avaient voulu le rendre plus réel vu son poids, ça alors on l'a ouvert il y a plein de pots de chocolats dedans!
Miam
Plus on en parle plus j'ai envie de Nutella
Toujours à l'affut des bons plans le Sobear. J'aime ton esprit
Chad ! Résiste
[youtube]https://youtu.be/JEAX24VgAsk[/youtube]
[youtube]https://youtu.be/JEAX24VgAsk[/youtube]
Avant tous les matins je me faisais un beignet Nutella de la boulangerie
Puis payé 1e par jour pour avoir le cancer finalement j'ai donné avec le tabac lol
Puis payé 1e par jour pour avoir le cancer finalement j'ai donné avec le tabac lol
Le Nutella est cancérigène ?
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