En trading la question est simple , est-ce que l'on veut vraiment réussir, et si oui dans ce cas réussir "quoi"?Faraway a écrit :je pense qu'avant de persévérer, je dois trouver des exemples car sinon , à l'impossible nul n'est tenu
Si on définit son "quoi" précisément on cherche et trouve les meilleurs moyens d'atteindre son "quoi" et on met la main à la patte, que ça dure 6 mois un an dix ans, si on est déterminé on utilisera son cerveau et on trouvera un moyen de nous servir. Faut le courage de persévérer et d'utiliser sa volonté pour trouver ses solutions.
Ceux qui m'ont aidé ce sont des docteurs en psychologies ou psychiatres chez qui j'ai puisé le savoir/les clés pour me libérer de conditionnement que je ne juge pas utile pour atteindre mon "quoi", un exemple si mon "quoi" c'est de monter en haut d'une falaise de laquelle je suis tombé et que je suis attaché par une corde à mon prochain en dessous qui m"empêche de rejoindre le haut je n'ai pas de problèmes à couper la corde pour remonter la falaise.
Y'a souvent plein de cordes à couper, et par peur on ose pas couper et pire parfois on peut combattre pour préserver des cordes qui nous empêchent de réaliser nos volontés, juste parce qu'on nous a appris et imposé que les cordes c'est le bien donc on doit penser comme ça.
Si on se libère pas de ces cordes qu'on a on ne peut pas accéder à certaines choses, il faut oser créer son chemin , on est libre. Aucune excuses
Voici le genre de travail que j'ai fait pour me libérer, couper les cordes qui m'ont desservi, sans pitié, sans problèmes. Psychologiquement intérieurement, je suis responsable de tout ce que je fais et de tout ce que je ressens donc j'ai appris à penser, et personne ne peut rien y faire.. En trading tu décides de tout, et si tu cherches à bien faire avec de bonnes connaissances des marchés comment on peut perdre sur le long terme?..
Tout est mental, tout dépend de ce qui se passe dans nos têtes, donc depuis que je le sais je suis constamment en auto-analyse et auto-gestion de ce que je ressens, deux moi, un qui vit, et un qui agis sur celui qui vit, pour garder un cap, j'ai mis en place cette façon d'être, une attention et pouvoir accordé à ce deuxième moi, celui qui ouvre le robinet des sensations/émotions/réflexions/actions, la source. C'est un sujet concernant le degré de conscience.
Si on sait pas faire quelque chose soit on s’entraîne et progresse vers un but, soit on tourne en rond et ça peut durer éternellement.