Franck Lopvet : L'acceptation de soi

c'est ce que je dis en permanence la réalité n'existe pas, c'est une vision différente selon chaque individu en fonction de ses propres filtres (mal être enfance etc). Une femme en mini jupe peut varier de la pire des femmes suppot de Satan à tuer à une femme libérée bien dans sa tête selon les visions.

La seule évolution possible positive c'est :

arrêter de juger les gens, chaucun fait ce qu'il peut sur Terre avant de crever
arrêter de s'occuper des autres, cela fait plus de mal que de bien car c'est intrusif et donc source de conflit
respecter la sphère privée de l'autre, ma liberté s'arrête ou commence celle des autres

mais c'est impossible il suffit de regarder le net ce n'est que jalousie haine paroles méchantes vouloir écraser l'autre et l'absence même d'une éducation minimale etc

ce qui ne doit pas nous empêcher d'être des gens positifs même si l'Humanité n'est qu'un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange.

Leur médiocrité et leur noirceur ne doivent pas nous contaminer

même si l'Humanité n'est qu'un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange.

Leur médiocrité et leur noirceur ne doivent pas nous contaminer

ah je sais pas vous mais ces paroles me revigorent

Quelle horreur!

Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées ; le monde n’est qu’un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange ; mais s’il y a au monde une chose sainte et sublime, c’est l’union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux.

Alfred De Musset

Si dès le départ il y avait une éducation qui apprenait à l'acceptation de l'autre, c'est sûr que ça influerait probablement à l'acceptation de soi aussi.

Sans défendre le mal fait aux autres bien sûr mais je préfère comprendre avant de juger

je suis juste exaspéré de mon espèce, plus je vois toutes les caractéristiques de 'lespèce et plus je me demande qui a crée un tel logiciel d'être animés vaquant sur la planète... L'hypocrisie et la stupidité sont aussi répandu que l'eau dans une cellule pour parler ton langage médicale chad

Mais je suis d'accord, c'est une bien drôle de chose mais je crois au bien, l'Humanité nous sommes une espèce comme "malade" qui pouvons (et devons) apprendre à nous soigner, il faut que l'espoir et la volonté de paix gagne à la longue sur le mal interpersonnel
Qu'avons-nous à perdre à œuvrer pour le bien

Après l'humanité qui est mauvaise c'est relatif, à chaque fois que je parle à autrui dans le monde réel il est facile de les faire passer un moment sympa et des faire rigoler, c'est sûr que le monde actuel gouverné par la peur et par l'argent est un immense problème, mais ça espérons que le bon Dieu réglera les comptes par la culpabilité des méchants,(oui j'aime rêvere ) en attendant ça me donne envie d’œuvrer pour le bien, on a pas besoin d'argent ni autres ce qu'on veut c'est être heureux c'est bien connu

J'en suis à 25mn -, il parle de belles choses, bien joué pour ce partage et cette trouvaille,
Je regarde la suite

Il parle bien, ses paroles sont positives, quand on l'écoute sans orgueil il apprend des choses bénéfiques

Bon faut s'accrocher parfois , décalé voire allumé desfois mais bon je cherche toujours à retenir le bien et utile et comprendre l'aspect de fond alors je peux suivre

Accepter sincèrement qui l'on est comme on est , pas une mince affaire

Ça me fait penser que j'ai été victime malgré moi du terrorisme mental ambiant de la cité dortoir où j'ai été contraint de grandir.

Couplé à une absence de père et d'une mère trop sensible et débordé par son quotidien j'ai été sacrément affecté par le manque d'amour et d'acceptation du monde extérieur qui m'a impacté toute ma vie.

D'un côté pas d'amour des proches et de l'autre un monde super violent où il n'y a pas eu de place à la faiblesse apparente, un renfermement ultra brutal de mes émotions et de mes sentiments qui m'a toujours empêché d'être moi-même, au-delà du choix, la peur ma t'ujours mangé tout cru dans le fond.

Quand la pression est trop forte de l'extérieur l'intérieur est paralysé.

L'avantage est que j'ai pu apprendre à comprendre un peu comment fonctionnait les autres et surtout voir au-delà des apparences parce que moi je n’étais pas du tout celui que je paraissais via mon apparence, que ce soit physiquement ou mentalement avec mon/mes interlocuteurs, donc ayant appris malgré moi le mensonge je pouvais déceler et percevoir autrui sous leurs vrais visages ou au moins un peu mieux que ce qu'ils laissaient paraître.

Après je me détache des choses et ai tendance à aller vers la nouveauté mais les stigmates et les peurs enfouies m'ont en fait toujours poursuivies, difficile de les surmonter, quand tu es confronté à la tyrannie et au terrorisme, sous ses différentes formes, c'est quelque chose qui atteint le plus intime de la personnalité.

Bref

Salut -

Je viens de découvrir sur youtube il y a qlq jours puis en faisant une recherrche sur le net j'ai vu un lien avec andlil... et tombe sur ton post. Cela ne m'étonne pas.
En tout cas c'est très intéressant et rafraîchissant par l'acidité avec laquelle il pointe nos circonvolutions mentales pour ne pas voir qui nous sommes.
Merci -.

J'ajoute juste un truc qui me tient à coeur : le seul moyen d'agir sur la "noirceur" , la bassesse , l'agressivité de ceux qui ns entourent est de se tourner vers notre propre ombre. Exemple : j'ai parfois été ennuyé voire agacé par l'agressivité dégagé par certains propos d'habitués d' andlil envers ceci ou cela, parce que moi-même suis prompt à juger et à rejeter ceux qui me semblent moins "éclairés"...

- très très TRES enrichissant, merci du partage

Yes merci - je regarde la vidéo très vite.

Top !

Ça me fait un peu penser au pouvoir de l'intention.

Je vais me la regarder plusieurs fois et prendre des notes.

T'en a d'autres du style ? Aussi bien Fichu ?

Hello Jili

Si tu écoutes bien ce qu'explique franck Lopvet dans ses vidéos, il dit des choses très intéressantes sur le piège du "pouvoir de l'intention" et de la pensée positive.
Le monde, enfin notre monde, nous renvoie ce que l'on émet. Si j'émet le désir d'avoir de l'argent, cela sous-entend que je n'en ai pas et en veux plus. Nous est renvoyé alors des situations où l'on ressent le besoin d'avoir de l'argent....

Merci pour cette vidéo, c'est rafraichissant et ça ouvre les yeux Ce n'est que du bon sens mais c'est loin d'être facile car il faut tout déconstruire et tout réapprendre. Perso je fais le lien avec l'éducation positive, qui est à mon avis le prérequis pour transmettre à nos enfants cette bienveillance "naturelle". Seuls les parents/l'entourage peuvent apprendre à un enfant à prendre conscience de ses sentiments, ce n'est pas inné et c'est à nous d'aider nos enfants à mettre des mots sur ce qu'ils ressentent.

@Guillaume, c'est tout à fait ça, le pouvoir de l'intention est en effet un outil puissant, pour autant il faut bien définir ce que l'on veut et pourquoi. Cela devient un piège si on se trompe d'objectif ou si celui-ci n'est pas aligné avec nos valeurs.

Oui Guillaume. Tu fais bien d'appuyer dessus. Idem Shz !

Pas une mince affaire...

Bonjour,

Je pense que ceux qui connaissent la logique de Franck Lopvet pourrons m'apporter des pistes !

Dans ma vie, je traverse régulièrement des périodes où tout va bien, je m’aime, j’aime les gens, j’aime la vie et j’ai confiance en moi avec une alternance de périodes où je ne m’aime plus, je déprime, je me prends beaucoup la tête, je suis susceptible, jalouse, dépendante affective, rien ne va plus, je ne trouve plus ma place, je me sens terriblement seule, insatisfaite, avec une négativité en moi énorme. J’aurais envie de mourir, je ne trouve plus aucun sens à la vie, plus de goût à la vie, je ne ressens plus rien, je pleure tous les jours.
J’aimerais vraiment être plus stable psychologiquement et diminuer mon mal-être dans ces périodes sombres, et comprendre d’où elles viennent. Car en soi, je n’ai aucune raison de me sentir mal : j’ai une super famille, un super chéri, un métier qui peut me plaire, je suis en santé, je suis intelligente, sociable, belle. J’ai tout pour être heureuse. J’ai l’impression de me créer des problèmes, d’un coup, pour remplir mon esprit et ma vie. Ou peut-être pour me porter de l’attention. Cela me fait peut-être exister. C’est souvent des problèmes de confiance en soi. J’aimerais vraiment avoir une vie plus stable émotionnellement. Je suis d’accord qu’il faut accepter ses émotions, d’avoir des bas, mais mes bas sont très intenses et longs et j’en souffre trop.

Pourquoi je fais cela ? Pourquoi je m’invente un problème régulièrement et je me rends très mal ?