Nous continuons aujourd'hui avec un des nôtres : Néron
Formule latine qui peut se traduire par « Quel artiste le monde va perdre ! », serait la dernière phrase prononcée par Néron.
Déclaré ennemi public en 68 par le Sénat, Néron s’enfonça une dague au travers de la gorge, aidé d’un serviteur.
Avec sa mère, la redoutable Agrippine, Néron fût au cœur de nombreuses intrigues politiques.
Quand il monta sur le trône, son pouvoir était pratiquement symbolique : c'est Agrippine qui tenait les rênes.
Sur les pièces d'or de l'époque, on peut voir non seulement le visage de Néron, mais aussi celui d'Agrippine.
Son court règne fût marqué par la démesure de ses constructions largement contestées par les sénateurs, qui l’accusaient de piller le trésor romain, la froideur des assassinats fomentés contre sa propre famille, ou encore son rôle ambigu dans le grand incendie qui a ravagé Rome dans la nuit du 18 juillet 64 qu’il imputa aux premiers Chrétiens.
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